L'âme islandaise

(474) IslandeVoyage en groupe

Ce voyage en Islande est une traversée. Une traversée de paysages en mutation, de territoires en tension, de mondes qui cohabitent sans jamais se confondre. Chaque jour, on avance entre les éléments. On marche dans des lieux où la terre respire, où les montagnes semblent vivantes, où les rivières bouillonnent ou s’effacent.

Florent, responsable agence de Marseille
Les plus Terdav par notre responsable agence de Marseille
  • Une découverte complète de la diversité du sud de l’Islande
  • Un hébergement "en dur"
  • La souplesse d'un bus privé pour les déplacements
  • Des randonnées dans les lieux emblématiques du pays
  • Un équilibre entre côte et hautes terres
Contactez-nous au 01 70 82 90 00 ou par
Jour par jour

Vol pour l'Islande

L’aventure commence dès l’atterrissage. À peine sortis de l’aéroport, le paysage vous cueille : des champs de lave à perte de vue, figés dans leur élan, tapissent la péninsule de Reykjanes. Le décor est brut, minéral, presque lunaire. On traverse ce territoire silencieux, comme un seuil vers un autre monde. Reykjavík se dessine au loin, posée entre mer et montagnes. Installation dans votre hébergement. Le reste de la journée est libre, pour flâner dans les rues animées ou simplement ralentir. Le dîner aussi se choisit en liberté.

  • en guesthouse
  • Minibus , entre 1h et 1h30 , 50km

Thórsmörk, au cœur des forces

On quitte Reykjavík par le plateau de Hellisheidi, balayé par les vents et les vapeurs géothermiques. Le paysage s’ouvre sur les plaines agricoles du sud, puis se resserre à mesure qu’on s’approche de Thórsmörk, la vallée de Thor. Trois glaciers l’encerclent, comme un écrin mouvant. En sentinelle, la cascade de Seljalandsfoss déroule son voile d’eau, qu’on peut contourner à pied, pour sentir son souffle glacé.
La piste devient plus chaotique. On franchit des rivières à gué, on longe des langues glaciaires, on devine des chutes de séracs. Le décor est brut, contrasté : canyons tapissés de mousse, cascades cachées, forêts de bouleaux miniatures.
Première randonnée sous le regard du volcan Eyjafjallajökull. Ici, la terre garde les cicatrices de l’éruption de 2010. À Gigjujökull, la langue glaciaire a reculé, laissant place à une moraine conique, sculptée par une jökulhlaup — cette inondation glaciaire mêlée de boue et de glace fondue. Le paysage a été recomposé, redessiné par la puissance du feu et de l’eau.
Thórsmörk semble paisible, mais elle est cernée par trois volcans, dont deux — Eyjafjallajökull et Katla — ont grondé au cours du dernier siècle. Sous leur calotte glaciaire, les éruptions prennent une autre forme, plus sourde, plus imprévisible.
On s’installe en refuge, à la lisière d’une forêt de bouleaux arctiques, vestige du passé végétal de l’île. Une dernière marche nous mène dans les gorges et les reliefs alentours, taillés par les éléments. Ici, tout parle de mouvement, de transformation, de l’équilibre fragile entre glace et feu.

  • entre 4h et 4h30
  • en refuge
  • Petit-déjeuner , Déjeuner , Diner
  • Minibus , 150km
  • Randonnée

De la vallée aux embruns

On quitte Thórsmörk au petit matin, laissant derrière nous ses bouleaux arctiques et ses gorges sculptées. La piste s’élargit, les glaciers Eyjafjallajökull et Mýrdalsjökull nous accompagnent à distance. Sous la calotte du second, le volcan Katla sommeille — redouté pour sa puissance, respecté pour son silence.
La route nous mène à Skógafoss, chute emblématique, rideau d’eau de soixante mètres qui s’écrase dans un grondement sourd. Si le soleil s’invite, un arc-en-ciel surgit dans les embruns, comme un clin d’œil à la lumière islandaise.
Plus loin, les falaises de Dýrhólaey dominent l’océan. En mai et juin, elles se ferment aux pas humains pour laisser place aux milliers d’oiseaux qui viennent y nicher. Alors, on bifurque vers Reynisfjara, plage de sable noir bordée d’orgues basaltiques. Le lieu, longtemps confidentiel, a gagné en notoriété avec le tournage de Game of Thrones. Mais ici, le silence reste maître, et la vue sur Dýrhólaey, imprenable.
On poursuit vers l’est, traversant des étendues de sable noir, nées des éruptions sous-glaciaires et des jökulhlaup successifs. Le paysage est brut, mouvant, façonné par les entrailles de la terre.
La journée s’achève dans la campagne entre Vík et Kirkjubæjarklaustur. Le ciel s’étire, les reliefs s’adoucissent. On ralentit, on respire, on se laisse imprégner.

  • entre 3h et 3h30
  • en refuge
  • Petit-déjeuner , Déjeuner , Diner
  • Minibus , 250km
  • Randonnée

Sous la glace, le feu

On traverse des champs de lave anciens, aujourd’hui recouverts d’une mousse épaisse, vert bronze. Le sol est né des failles d’Eldgjá et de Lakagígar — le fameux Laki — dont les éruptions ont marqué l’histoire géologique de l’île. Le paysage est minéral, presque silencieux, mais chargé d’une mémoire volcanique.
Cap sur le parc national de Skaftafell, au pied du Hvannadalshnúkur, sommet de l’Islande. On s’élance sur les sentiers, vers Svartifoss et ses orgues basaltiques, ou vers les vallées glaciaires de Morsárjökull et les crêtes de Krístinartindar. La météo décide du tempo.
Autour de nous, le Vatnajökull déploie sa calotte, immense, mouvante. À ses pieds, des étendues de sable noir — les sandur — témoignent des éruptions passées. Sous la glace, l’Öræfajökull gronde en silence. Peu connu, mais actif, il façonne les plaines et les rythmes de ce territoire.
On poursuit vers le lagon glaciaire de Jökulsárlón. Les icebergs dérivent lentement vers l’océan, bloqués par un étroit chenal. Il y a un siècle, le glacier touchait encore la mer. Aujourd’hui, il recule, laissant place à un lagon profond, où la glace se fragmente, se colore, se transforme. Quelques phoques observent, impassibles.
Le paysage évoque le Groenland, mais nous sommes bien en Islande. Ce site est un monde à part, une respiration glacée, une pause dans le mouvement. On contemple, on ralentit, on se laisse traverser.

  • entre 5h et 5h30
  • en refuge
  • Petit-déjeuner , Déjeuner , Diner
  • Minibus , 110km
  • Randonnée

Le souffle des failles

Le programme du jour dépend des saisons. Au printemps, quand les hautes terres se ferment, on reste sur la côte sud, dans les parages de Vík. On y découvre des lieux plus secrets, comme Hjörleifshöfdi, monolithe isolé, posé au milieu des sables noirs comme une île minérale.
Quand l’été ouvre les pistes, on s’élance vers l’intérieur. Première halte : le canyon de Fjardrárgljúfur. Son nom se tord dans la bouche, mais ses courbes sont limpides. La rivière serpente entre des parois tapissées de mousse, sculptées par le temps et l’eau.
Puis on bifurque sur la piste du Fjallabak, littéralement « derrière les montagnes ». Le nom dit tout. Le décor change, devient plus brut, plus contrasté. Reliefs plissés, crêtes effilées, couleurs minérales. C’est l’une des plus belles pistes du pays.
On poursuit jusqu’à Eldgjá, faille explosive sur le rift actif. On marche dans un univers de lave et de mousse, au cœur d’un système volcanique immense. En l’an 930, alors que l’île venait d’être peuplée, une éruption colossale a jailli ici, libérant près de 20 kilomètres cubes de lave. Certains y voient les racines des récits apocalyptiques des Eddas, d’autres un tournant spirituel, qui aurait poussé les Islandais vers le christianisme.
On s’installe pour la nuit dans les environs de la gorge. Le sol est encore chaud d’histoire. Le ciel, lui, s’étire en silence.

  • entre 4h et 4h30
  • en refuge
  • Petit-déjeuner , Déjeuner , Diner
  • Minibus , 150km
  • Randonnée

Couleurs brûlantes et terres mouvantes

On poursuit notre traversée du rift volcanique, cap sur Landmannalaugar. La piste F208 déroule ses méandres à travers des paysages qui changent de peau à chaque virage : noir profond, vert acide, jaune soufre. Les mousses s’illuminent, les crêtes se plissent, les vapeurs s’élèvent.
Au printemps, quand les hautes terres se ferment, on embarque sur un ferry pour rejoindre l’archipel des Vestmann. Heimaey, seule île habitée, nous accueille. Centre de pêche, refuge pour les oiseaux marins, elle garde en mémoire l’éruption de 1973. Pendant six mois, la lave a jailli, agrandissant l’île d’un tiers et menaçant d’engloutir la ville. On marche entre le cap de Stórhöfdi et le volcan Eldfell, né de cette secousse. L’île est encore chaude.
En été et en automne, on s’élance vers Landmannalaugar. Le massif rhyolitique se dévoile, multicolore, brut, vivant. On randonne au cœur d’une mine géologique à ciel ouvert : obsidiennes, basaltes, tufs, rhyolithes. Le sol parle, les montagnes vibrent.
Selon le ciel, on traverse le champ de lave en amont du camping pour rejoindre une zone géothermique, ou on grimpe le Bláhnúkur, le « pic bleu », sommet minéral aux reflets gris acier.
Après l’effort, on glisse dans une rivière chaude, où l’eau bouillante des entrailles de la Terre rencontre celle des neiges fondues. Le corps se relâche, le paysage s’imprime.
La journée s’achève sur la piste de Landmannaleid, jusqu’au pied du volcan Hekla. Étendues de cendre noire, coulées figées, silence. Le volcan est là, discret, mais toujours en veille.

  • entre 5h et 5h30
  • en refuge
  • Petit-déjeuner , Déjeuner , Diner
  • Minibus , 100km
  • Randonnée

Entre feu, verdure et mémoire

Dernier jour en mouvement avant le retour vers Reykjavík. On explore les abords du volcan Hekla, silhouette sombre posée sur un tapis de cendres. La vallée de Thjórsárdalur s’ouvre devant nous, rude et minérale, mais cache en son cœur une oasis inattendue : Gjáin. Bassin de verdure, cascades, vasques claires… le contraste est saisissant. Douceur au milieu du chaos.
Cette région a souvent subi les colères de Hekla. Des fermes ensevelies sous la ponce, des terres rendues stériles. Un site archéologique y a été mis au jour, comme un petit Pompéi islandais, figé dans l’élan.
On reprend la route vers le Cercle d’Or. Flúdir et ses champs, ses bosquets, offrent une transition apaisée après la tension des hautes terres.
Première halte : Gullfoss. La chute s’élance depuis la calotte du Langjökull, s’effondre dans un canyon aux portes du désert du Kjölur. L’eau rugit, le vent s’engouffre, le corps frissonne.
À quelques minutes de là, le geyser Strokkur jaillit toutes les quinze minutes. Il donne son nom au phénomène dans les langues modernes. On attend, on observe, on ressent.
Dernier arrêt : Thingvellir. Vallée du Parlement, berceau de la démocratie islandaise. Ici, les premiers colons se réunissaient en plein air dès le IX? siècle. Mais Thingvellir est aussi une faille vivante, où l’on marche entre deux continents.
Retour à Reykjavík. Le cercle est bouclé. Le voyage, lui, continue en vous.

  • entre 2h et 2h30
  • en guesthouse
  • Petit-déjeuner , Déjeuner
  • Minibus , 200km
  • Randonnée

Vol retour

Transfert à l’aéroport de Keflavík et vol retour.

  • Bus , entre 1h et 1h30 , 50km
  • Jour 1
  • Jour 2
  • Jour 3
  • Jour 4
  • Jour 5
  • Jour 6
  • Jour 7
  • Jour 8
  • Important itinéraire
    • Attention : itinéraire, distances et temps de marche sont donnés à titre indicatif et modifiables en fonction de l’état des pistes, des conditions météorologiques et du rythme du groupe. Certains jours nous ferons plusieurs courtes randonnées

      Voyage pouvant être réalisé en sens inverse de celui décrit.

      Itinéraire pour le printemps (jusqu'à fin juin) :

      Jour 1 : Paris - Keflavík - Reykjavík
      Vol vers Reykjavík. Transfert et installation dîner libre.
    • Type d'hébergement : en guest house
    • Transfert : bus, 50 km

      Jour 2 : Reykjavík - Thórsmörk
      Par le plateau volcanique de Hellisheidi, nous rejoignons les plaines agricoles du sud avant de pénétrer dans la vallée de Thórsmörk, “les bois de Thor”, encaissée entre trois glaciers. La cascade de Seljalandsfoss dont on peut faire le tour à pied, est postée en sentinelle. Passages de rivières et torrents à gué, langues glaciaires et leurs chutes de séracs, canyons aux parois couvertes de mousse, cascades dissimulées et forêts de bouleaux miniatures qui font de ce site l'un des plus beaux de l’île. Première randonnée dominée par le volcan Eyjafjallajökull, celui-là même qui fit beaucoup parler de lui lors de son éruption en avril 2010. Au niveau de la langue glaciaire de Gigjujökull les effets de l´éruption, sous forme d´une coulée d´eau mêlée de glace fondue et de lave en fusion, ont totalement recomposé le paysage à sa sortie. Le glacier a perdu une grande partie de son volume et laissé place à une grande moraine conique qui permet d’évaluer la puissance de ce phénomène aussi appelé "laar".
    • 3-4h de marche
    • Hébergement : en refuge
    • Transfert : bus, 150 km

      Jour 3 : Thórsmörk – Skógar – Vík - Skaftafell
      Nous visitons la région située sous les glaciers Eyjafjallajökull et Myrdalsjökull. Arrêt à l'impressionnante chute de Skógafoss. Découverte des falaises de Dýrhólaey et leur plage de sable noir, leurs formations d´orgues basaltiques, leurs pillow-lavas. Toujours plus loin vers l’est, nous franchissons de vastes étendues de sable noir qui résultent des nombreuses éruptions sous-glaciaires, puis d'anciens champs de lave aujourd'hui recouverts d'une épaisse couche de mousse vert bronze. Arrivée dans la région du parc national de Skaftafell, au pied du Hvannadalshnúkur (2110m), le point culminant de l'île.
    • 3h de marche, plusieurs arrêts
    • Hébergement : en refuge
    • Transfert : bus, 250 km

      Jour 4 : Skaftafell – Jökulsárlón - Skaftafell
      Visite du parc national de Skaftafell. Randonnée vers la chute de Svartifoss et la vallée glaciaire de Morsárjökull ou les pointes de Krístinartindar, la météo du jour nous aidera dans nos choix. Vue sur une partie de la calotte glaciaire du Vatnajökull, le plus grand glacier d'Europe, et d'immenses étendues de sable volcanique, dont vous connaissez à présent l’origine mouvementée. Tout ceci sous la silhouette du Hvannadalshnúkur. Nous sommes dans l´univers des glaciers, avec des petites touches alpines certes, mais à une grosse différence près, nous sommes alors quasiment au niveau de la mer. Et sous la glace grondent les volcans comme l'Öræfajökull, dont on parle peu mais qui reste l'un des plus actifs de l´île et dont les éruptions successives ont façonné une immense plaine de sable noir, les sandar, domaine des grands labbes qui ne vous y laisseront pas facilement pénétrer. A Jökulsárlón les icebergs dérivent jusqu'à l'océan voisin sous l'œil attentif de quelques phoques qui seront plus faciles à observer grâce à une sortie en bateau d´une heure environ.
    • 5h de marche, en une ou deux randonnées selon les conditions météo
    • Hébergement : en refuge
    • Transfert : bus, 120 km

      Jour 5 : Skaftafell – Vík - Skógar
      Nous commençons par une belle balade pour admirer les gorges au nom imprononçable de Fjardrágljúfur, finement sculptées par l´érosion. Nous découvrons plus en détails la côte sud et ses nombreux secrets dans la région de Vík, notamment le monolithe de Hjörleifshöfdi, sorte de gros paquebot pris par les sables. Aussi incroyable puisse-t-elle paraître cette "montagne“ couverte d´herbe mais entourée de sable noir fut habitée jusque dans les années 30. Puis nous poursuivons notre route sous les glaciers du sud.
    • 4h de marche, deux arrêts
    • Hébergement : en refuge
    • Transfert : bus, 160 km

      Jour 6 : Skógar – environs du volcan Hekla
      Au printemps (mai et juin), quand il impossible d'accéder à la région de Landmannalaugar, nous prenons le ferry pour gagner l´archipel des îles Vestmann et plus particulièrement l´île de Heimaey, la seule peuplée et centre de pêche très important. En cette saison, les oiseaux marins cherchent refuge sur les falaises, soit au sommet pour y creuser un terrier comme les macareux, soit de manière plus spectaculaire sur des anfractuosités, comme les guillemots, pour y déposer leur œuf unique. Iles sorties des fonds océaniques à la faveur de nombreuses éruptions, les îles Vestmann, dont Heimaey, sont constituées de falaises de plusieurs centaines de mètres de haut, autant de zones habitables pour la gente ailée. Autre particularité de Heimaey, sa coulée de lave émise lors d´une violente éruption de 6 mois en 1973, agrandit l´île d´un tiers de sa surface et y ajouta un second volcan, menaçant au passage d´engloutir la petite ville. Entre le cap de Stórhöfdi pour y observer les oiseaux et Eldfell, né de l´éruption, nous aurons le temps de bien découvrir l´île au cours de ces deux balades, avant de reprendre le ferry pour regagner la terre ferme et prendre la direction du volcan Hekla.
    • 4h de marche en deux randonnées
    • Hébergement : en refuge
    • Transfert : bus, 100 km

      Jour 7 : Environs de Hekla et Cercle d´Or - Reykjavík
      Découverte de la région de Hekla et de la vallée de Thjórsárdalur, qui sera l´occasion d´un détour par la petite oasis de Gjáin, véritable bassin de verdure au milieu d´un monde minéral rude. Aussi douce qu´inattendue.... avant de nous arrêter à la chute de Gullfoss puis d'observer le geyser Strokkur à Geysir. Arrêt également à Thingvellir, la vallée du Parlement, où les premiers colons islandais tinrent leur assemblée en plein air dès la fin du 9e siècle, jetant les bases d’une démocratie basée sur des traditions importées de Norvège. Retour sur Reykjavík. Dîner libre
    • 2h de marche
    • Hébergement : en guest house
    • Transfert : bus, 260 km

      Jour 8 : Reykjavík - Keflavík - Paris
      Transfert à l’aéroport de Keflavík et vol retour.
    • Transfert : bus, 50 km
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    Privatiser votre voyage

    Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?

    Hébergement

    -5 nuits en refuge
    -2 nuits en guesthouse

    A Reykjavík : guest house en chambre double, sanitaires partagés à l’étage.
    En dehors de Reykjavík : refuge, auberge de jeunesse ou gîte, en sac de couchage, en dortoir, sanitaires partagés.

    - Les guest houses sont généralement situées non loin des routes principales, il s’agit de petits établissements qui proposent un service très proche de celui de l’hôtellerie standard. Ce type d’hébergement est très répandu en Islande, et bien souvent une affaire familiale. Elles disposent généralement de chambres avec sanitaires à partager et/ou avec sanitaires privatifs. Le petit déjeuner est inclus. Majoritairement ces hébergements proposent le Wi-Fi gratuit et des services additionnels comme la restauration.

    - Les auberges ou auberges de jeunesse sont des hébergements de catégorie intermédiaire, proposant des couchages en dortoir de 2 à 15 lits. Les sanitaires sont collectifs. Une cuisine équipée est disponible pour la préparation des repas des voyageurs. La plupart du temps vous devez avoir votre sac de couchage. Ces établissements proposent souvent un service de restauration ainsi que le Wi-Fi. Dans les villes et certains lieux très fréquentés, les auberges sont grandes et peuvent être composées de plusieurs bâtiments. Dans les lieux plus isolés, il peut s’agir de simples petits chalets ou d’une petite maison campagnarde.

    - Les refuges sont des hébergements dédiés aux randonneurs et se situent pour la majorité dans les zones des hautes terres. Ils sont très similaires aux refuges alpins avec un ou plusieurs grands dortoirs de 10 à 30 places. Vous disposez généralement de l'eau courante (froide) mais les douches sont payantes (environ 3.5€ pour 5mn d’eau chaude). Les sanitaires se trouvent parfois dans un bâtiment secondaire. Les refuges comportent souvent des cuisines, plus ou moins bien aménagées et équipées. Un gardien est présent pour entretenir le refuge et s’occuper des arrivées, en revanche peu ou pas de services proposés dans ce type d’hébergement.

    Fiche technique
    • Détail du voyage
    • Equipement
    • Formalités et santé
    • Pays et climat
    • Tourisme responsable
    • Code voyage : ISL018 À savoir avant de partir
    Notre démarche responsable
    • Eau

    • Guides

    • Nourriture

    • Nos partenaires locaux

    • Déchets

    • Communautés

    • Transports

    • Ecosystèmes locaux

    Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé des engagements que nous prenons pour un tourisme plus responsable ainsi que des axes d’améliorations que nous poursuivons sur chacun de nos voyages. Chaque année, nous auditons et évaluons nos pratiques sociales et environnementales en collaboration avec nos partenaires sur une dizaine de catégories en lien avec les 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations-Unis. Nous nous rendons régulièrement sur place afin de vérifier et d’améliorer continuellement notre démarche responsable.

    Partage de la valeur

    Pour 100 € payés sur ce voyage :

    • 58 € Destination

    • 12 € Aérien

    • 15 € Salariés

    • 8 € Autres frais

    • 2 € Impôts

    • 1 € Mécénat

    • 5 € Entreprise

    Notre approche :

    Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.

    • Destination : Il s’agit du montant consacré à payer les prestations dans le pays dans lequel vous voyagez : nos partenaires, les guides, les hébergements, les transferts, les activités, la nourriture, etc.
    • Aérien : Il s’agit du montant correspondant au prix du billet d’avion.
    • Salariés : Ce montant correspond à l’ensemble des sommes versées à nos collaborateurs et qui ont en charge la création, l’exploitation et l’organisation de votre voyage ainsi que leur gestion administrative.
    • Autres frais : Les autres frais correspondent aux frais de fonctionnement de notre entreprise : nos loyers, électricité, assurances, frais bancaires, etc.
    • Impôts : Ce montant est destiné à payer tous les impôts qui sont dus : TVA, Impôt sur les sociétés, et autres impôts.
    • Mécénat : Ce sont les montants dédiés à nos projets de reforestation nous permettant d’absorber 100% des émissions carbone du voyage ainsi que le soutien que nous apportons aux diverses associations que nous accompagnons en France et dans le monde.
    • Entreprise : Il s’agit du montant qui reste dans l’entreprise et qui nous permet d’investir dans de nouveaux projets et développer des nouveaux voyages.
    Vidéos
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    Les avis sur ce voyage (89 avis)
    Note globale : 4 / 5

    Toutes les appréciations affichées ci-dessous proviennent uniquement de personnes qui ont voyagé avec nous. À leur retour, nos clients reçoivent un e-mail qui leur propose de faire part de leurs impressions. Bons ou mauvais, les avis sont publiés sur le site, à condition qu'ils respectent notre charte éditoriale.

    • Superbe voyage
      satisfait

      Superbe voyage sur la terre de feu. Magnifiques paysages, les randonnées sont bien adaptées et permettent de contempler de superbes paysages. La plupart du temps nous étions seuls sur les sentiers ! Les hébergements sont conformes à la description et coup de cœur pour celui du vendredi soir un chalet rien que pour nous avec barbecue et terrasse ! Le groupe était fort sympathique j ai ri tout le long du séjour ! Et un spécial merci au guide Vincent très sympa, qui nous a guidé avec gentillesse, bienveillance, écoute, tout en nous régalant de ses bons petits plats ! A refaire sans hésitation !

      Fabienne,
    • L'AME ISLANDAISE
      satisfait

      Formidable voyage : des décors somptueux sous tous types de conditions météo,un groupe très sympathique, un conducteur islandais très compétent et un guide/cuisinier qui nous a transmis ses connaissances du pays avec enthousiasme et bienveillance et nous a régalés de ses talents de chef!

      Genevieve,
    • L’âme de l’Islande …en bus
      insatisfait

      L’ Islande est assurément un pays magnifique si vous ne le visitez pas avec terdav On nous avait promis des heures de randonnées faciles qui se sont transformées en heures de bus et en moyenne une heure et demi de ballade. Tout cela dans des conditions d’hébergement de tres bas niveau (réfectoire contenant 100 personnes avec un évier pour la vaisselle) Bref ce voyage n’avait d’aventure que le nom ….

      Olivier,
    Pourquoi voyager avec nous
    • Plus de 45 ans d'expérience du voyage d'aventure

    • 12 agences en France et à l'étranger

    • 100 conseillers spécialistes à votre service

    • Des voyages 100% carbone absorbé

    • 1 magazine inspirationnel pour rêver

    • Une assistance 7j/7 et 24h/24 pendant votre voyage