Découverte Lhassa - Visite Gyantse - Panorama Sur L'Everest Traversée du Tibet central
- Nous sommes en cours de programmation des dates pour ces voyages. Pour plus d'informations n'hésitez pas à nous contacter
- Circuit accompagné
- 16 Jours
- Niveau
- Altitude
- Code : TIB508
- • La découverte des grands sites du Tibet central
- • Le monastère de Rongbuk au pied de l'Everest
- • Le centre des pandas à Chengdu et le grand bouddha de Leshan
- • Un petit groupe limité à 12 personnes
Du père Huc à Alexandra David-Néel, atteindre l'Himalaya en son cœur, Lhassa, fut l'aventure d'une vie. A la magie des paysages répond la richesse des monuments. Suivant l’ancienne route de Lhassa à Katmandou, parcourue depuis des siècles par les moines, les pèlerins, les artistes et les marchands, nous découvrons la civilisation tibétaine : universités monastiques de Sera et Drepung, villages, sites historiques tels Samye et le Potala, merveilles artistiques comme Gyantse...
lire la suite
-
Activités
Découverte
-
Hébergements
En hôtel (12), en avion (1), en guesthouse (1)
-
Transferts
Véhicule privatisé
-
Itinérance
Voyage itinérant
-
Environnement
Patrimoine et Nature, Montagne
Périodes de départ et prix
Aucune date n'est actuellement programmée pour ce voyage.
Pour plus d'informations n'hésitez pas à nous contacter.
Idées associées
Jour par jour
Vol pour Chengdu
Vol pour Chengdu (500m).
- Hébergement : en avion
Chengdu - Lhassa (3650m)
Arrivée à Chengdu, où un assistant vous accueille et vous remet votre permis pour le Tibet. Vol pour Lhassa (3656m). Accueil par votre guide à l'aéroport puis transfert à l'hôtel et temps libre. La suite du programme sera modulée en fonction de l'heure d'arrivée du vol.
Dîner libre.
- Hébergement : en hôtel
Lhassa
Départ pour la visite du monastère de Drepung, du palais d’Eté et du monastère de Sera.
Drepung est le plus grand de tous les monastères tibétains, et, de fait, à son apogée était le plus grand monastère au monde. Il a été fondé en 1416 par Jamyang Chojey, un disciple direct de Je Tsongkhapa, le fondateur de l'école gelugpa. Les 2e, 3e et 4e dalaï-lamas furent enterrés à Drepung. C’est aussi à Drepung que s'établit Lobsang Gyatso, le 5e dalaï-lama avant de s'installer au palais du Potala dont il ordonna la construction pour l'administration de l'État tibétain. Tulku Dragpa Gyaltsen, contemporain de Lobsang Gyatso et son équivalent hiérarchique, jusqu'à sa mort, habitait également ce monastère, dans la demeure haute.
Drepung est situé sur la montagne de Gambo Utse, à 5 kilomètres à l’ouest de Lhassa, il domine la Kyi chu la rivière sainte qui coule près de Lhassa.
Norbulingka , le "parc aux joyaux", est une enclave de 40 ha, comprise dans les faubourgs ouest de Lhassa, capitale de la région autonome du Tibet, et remplie de jardins, de bassins, de pavillons et de palais. Avant la construction de la ville nouvelle à partir de 1959, le site était à l'extérieur de Lhassa. Le parc, qui se divise en deux parties : le Norbulingka proprement dit, à l'est, et le Chensel Lingka ou Jianselingka, à l'ouest, servit de résidence d'été aux dalaï-lamas depuis le milieu du 18e siècle jusqu'au 17 mars 1959, date à laquelle le 14e dalaï-lama s'exila en Inde. Hormis le palais du 7e dalaï-lama (le Kelsang Phodrang), construit en 1755, les grands palais et leurs bâtiments ancillaires (le Chensel Phodrang et le Takten Migyür Phodrang) furent édifiés au 20e siècle respectivement par le 13e et le 14e dalaï-lamas.
Le site fut un deuxième centre religieux, politique et culturel du Tibet, après le Potala.
En 2001, l'UNESCO inscrivit le Norbulingka sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité en tant que partie de l'ensemble historique du palais du Potala.
Le monastère de Sera correspond à l'une des trois grandes universités monastiques gelugpa du Tibet. Les deux autres grands monastères gelugpa sont Drepung et Ganden. Sera signifie "l’enclos des rosese. Le monastère est à 5km au nord du Jokhang à Lhassa. Il est toujours en activité aujourd'hui mais un monastère de même nom a été refondé en exil, en Inde du Sud, à Bylakuppe.
Repas inclus.
- Hébergement : en hôtel
Lhassa
Visite du palais du Potala, du temple Jokhang et de la rue Barkhor.
Le palais du Potala est un palais-forteresse ou dzong du 17e siècle, situé à Lhassa, sur la colline de Marpori ("la colline rouge"), au centre de la vallée de Lhassa. Comprenant un "palais blanc" et un "palais rouge", ainsi que leurs bâtiments annexes, l'édifice incarne l'union du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel et leur rôle respectif dans l'administration du Tibet. Construit par le 5e dalaï-lama, Lobsang Gyatso (1617-1682), le palais fut notamment le lieu de résidence principal des dalaï-lamas successifs, jusqu'à la fuite du 14e dalaï-lama à Dharamsala en Inde après le soulèvement tibétain de 1959. Le palais est depuis devenu un musée de la République populaire de Chine. Il bénéficie d'une protection au titre du patrimoine
national d'État chinois depuis 1961 et est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1994. Aux 18e et 19e siècles, cet édifice de treize étages comptait parmi les plus hauts du monde.
Le temple de Jokhang signifiant "maison du Jowo" en référence à la célèbre statue qu'il abrite, aussi appelé Tsuklakang , est le premier temple bouddhiste construit au Tibet. Cœur spirituel de Lhassa et lieu de pèlerinage depuis des siècles, il est situé dans le quartier du Barkhor. Depuis 2000, le Jokhang est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO dans le cadre de l'"ensemble historique du palais du Potala", et c'est l'un des hauts-lieux touristiques de Lhassa avec le palais du Potala et le parc du Norbulingka.
Le Barkhor était le lieu de circumambulation bouddhiste le plus populaire pour les pèlerins et les habitants de Lhassa. Le parcours faisait un kilomètre de long et entourait le Jokhang, l'ancien siège de l'Oracle d’État de Lhassa appelé monastère de Muru Nyingba, ainsi que nombre de maisons de la noblesse tibétaine dont le Tromzikhang et le Jamkhang, selon Keith Dowman. Il y avait, disposés aux quatre points cardinaux, quatre grands brûleurs d'encens (sangkangs) où l'encens brûlait continuellement pour apaiser les dieux protégeant le Jokhang.
Repas inclus.
- Hébergement : en hôtel
Lhassa - Samye (3500m)
Départ pour le monastère de Samye, premier monastère bouddhiste construit au Tibet. Érigé sous l'empire du Tibet (629-877), vers l'an 779, il fut fondé vraisemblablement par Padmasambhava et Shantarakshita. Le monastère possède une palissade circulaire entourant plusieurs petits temples. Samye est un endroit sacré important pour les pèlerinages tibétains. Il se situe à environ 120km au sud-est de Lhassa.
Nuit dans la guest house du monastère.
Repas inclus.
- Heures de marche : entre 2h et 3h
- Hébergement : en hôtel
- Transfert : Véhicule privatisé , 3h30, 205 km
Samye - vallée de Chimpu - Samye
Après le petit déjeuner, départ pour une randonnée dans la vallée de Chimpu et ses ermitages qui s’étendent sur le flanc d’une montagne. Lieu historique et spirituel de première importance, leur histoire remonte aux premiers temps de la fondation du monastère de Samye, il y a 1200 ans. Ces grottes sont encore utilisées par les pèlerins bouddhistes, nones et moines. Il y a un peu d’ascension pour atteindre les grottes et découvrir une vue imprenable sur la vallée du Brahmapoutre. Retour à Samye en fin d’après-midi.
Nuit dans la guest house du monastère de Samye.
Repas inclus.
- Heures de marche : entre 3h et 4h
- Hébergement : en hôtel
Samye - Tsethang (3100m)
Départ pour la visite du palais Yumbalakang, puis du temple Tradruk, et l’après-midi visite des tombes des tois de l’ancienne dynastie Yarlung. La vallée du Yarlung n'est autre que le nom tibétain du Brahmapoutre qui enserre le Namcha Parwa (7756m) et sort du pays pour aller se jeter dans le Gange. Cette vallée abrite le premier village tibétain (en contrebas de Yumbulakang), le palais où vécut le premier roi du Tibet. Le palais de Yumbulakang est une ancienne forteresse qui se dresse sur une colline bordant la rive orientale du Yarlung Tsangpo dans le sud-est du comté de Naidong, à 9km au sud de Tsetang dans la préfecture de Shannan. La forme de la colline évoque la silhouette d'une biche (yumbu), d'où le nom de la construction, "palais de la biche".
Le monastère de Tradruk est l'un des temples géomantiques servant à protéger de la démone supposée vivre sous le sol tibétain. A l'instar du monastère de Jokhang à Lhassa, ce monastère de Tsetang a une architecture traditionnelle plaçant le temple au centre. Mais, ce qui fascine le plus, c'est le splendide tangka de perles et de pierres précieuses datant de plus de 800 ans.
Le tombeau des rois tibétains est situé au sud-ouest du mont Zongshan, dans la commune de Qonggya de la préfecture de Shannan. C’est la sépulture royale ayant la plus grande superficie (385m²) et la mieux conservée au Tibet. Les rois tibétains, nommés Tsanpos, de la 29e à la 40e génération, y sont enterrés. Leurs tombes sont accompagnées de celles de leurs épouses et des ministres. Maintenant, on ne peut plus savoir le nombre de tombes. Au fil du temps, des tombes ont fusionné avec les collines. On ne peut distinguer que huit ou neuf tombes, y compris celles de Songtsen Gampo, de la princesse Wencheng et de Tri Desongtsen.
Repas inclus.
- Heures de marche : entre 2h et 3h
- Hébergement : en hôtel
Tsethang - Gyantse (3900m)
Départ vers la passe Khampa (4730m) qui offre une vue époustouflante sur les pics enneigés principaux de la région est de l’Himalaya. Descente vers le lac d’eau turquoise de Yamdrok. Puis continuation vers la passe de Karo (5050m) pour aller visiter les nomades locaux et leurs troupeaux de yaks. Arrivée à Gyantse en fin d’après-midi.
Le lac Yamdrok est un des trois plus grands lacs sacrés du Tibet. Il fait plus de 72km de long, est entouré de montagnes enneigées et nourri par de nombreux petits ruisseaux. Il présente un ruisseau de sortie à son extrémité ouest. À 90km à l'ouest du lac, se trouve la ville tibétaine de Gyantse, et Lhassa est à 100km au nord-ouest. Selon la mythologie tibétaine, le Yamdrok-Tso résulte de la transformation d'une déesse. La ville est située dans la vallée de rivière Nyang, un affluent du Yarlung Tsangpo (Brahmapoutre), au carrefour des anciennes routes commerciales de la vallée de Chumbi, de Yatung et du Sikkim. De Gyantse, les routes mènent à Shigatse, à 90km au sud, et aussi du col de Karo La au Tibet central. La construction, en 1991, de la nouvelle route du sud, a préservé la vieille ville du développement urbain. Au nord et à l'ouest, de part et d'autre de la grand rue menant au monastère, s'étend la vieille ville. Au sud et à l'est, point un quartier moderne.
Aux 14e et 15e siècles, Gyantse devint un fief lié à l'école sakyapa. Un dzong remplaça, vers 1365, un château édifié à l'époque des rois de Yarlung et qui englobait l'ensemble de la ville entre ses murailles. Un grand temple (tsglag khang) fut établi à proximité en 1390.
Repas inclus.
- Heures de marche : entre 2h et 3h
- Hébergement : en hôtel
Gyantse - Shigatse (3800m)
Visite du monastère Palkhor Chode et du stupa Kumbum, et ascension vers l’ancien fort de Gyantse puis départ pour la vallée Nying Chu en traversant les villages locaux tibétains et en s’arrêtant dans des fermes et chez des familles tibétaines.
Arrivée à Shigatse dans l’après-midi, visite du monastère Tashi Lhunpo et du marché.
Monastère Palkhor Chode :
Fondé en 1418 par Rabten Kunzang Phagpa comme une fédération de 16 collèges monastiques appartenant aux trois écoles gelugpa, sakyapa et büton ; aujourd'hui, il ne reste plus qu'un seul collège. La prospérité du monastère tint à sa situation stratégique au croisement des routes caravanières reliant Lhassa au Sikkim et au Népal et aux redevances qu'il percevait sur les marchandises. Les halls et chapelles du temple principal ont traversé les siècles, dont la Révolution culturelle, sans dommages majeurs, et possèdent cette belle patine que d'autres, récemment restaurés, leurs envieront encore longtemps.
Le Grang Temple :
La salle d'assemblée est ornée de fresques et sculptures remarquables. Au fond de la salle, se trouve la chapelle la plus importante du temple (imposante trilogie des bouddhas du passé, présent et futur, entourée par 8 bodhisattvas de 4m de haut). Un escalier mène à l'étage où se trouvent quatre chapelles ; la seconde à gauche est un vrai joyau (fresques tantriques, statues de taille humaine des 16 arhats veillant le bouddha Sakyamuni et entourant le mandala en trois dimensions de Chakrasamvara).
Le Kumbum :
Dans la cour, le monastère possède le Kumbum le plus ancien (1427) et le plus connu. Haut de 35m, l'ensemble forme un mandala tridimensionnel qui se visite de bas en haut et de gauche à droite jusqu'à la chapelle Dorje Chang, le bouddha primordial. Grimper au sommet et s'arrêter dans les 77 chapelles permet de "parcourir l'intégralité" de la voie tantrique (la montée commence par des escaliers de pierre et se termine par d'étroites échelles de bois). Le Kumbum compte 108 portes (nombre sacré du bouddhisme tantrique = nombre de grains des chapelets tibétains).
La forteresse :
Situé sur une éminence – le mont Dzongri – dans la partie sud la ville, le dzong de Gyantse gardait au sud les accès par la rivière Yarlung Zangbo et la route de Lhassa. Il a subi des destructions sous les coups de l'artillerie de l'expédition Younghusband en 1904 puis à nouveau dans les années 1960. À l'intérieur de la forteresse, se trouve un petit temple dédié au Bouddha Sakyamuni et orné de fresques en mauvais état, dont une peinture représentant Avalokiteshvara.
Monastère Tashi Lhunpo:
Le monastère de Tashi Lhunpo se situe sur le versant sud de la montagne Nyima, dans la partie ouest de la ville de Shigatse. Il représente le superbe art architectural spirituel tibétain. Le monastère attire des milliers de pèlerins et de touristes du pays et étrangers qui font le voyage, chaque année, pour prier. En s’éloignant de Shigatse, sur la route, à l'ouest de la ville vous pourrez admirer le toit doré du monastère de Tashi Lhunpo étincelant sous le soleil. Malgré ses cinq siècles d’existence, il conserve toujours son éclatante jeunesse. Le monastère de Tashi Lhunpo (qui signifie bon augure) compte parmi l’un des six grands monastères Gelugpas (ou école des bonnets jaunes) en Chine et le plus grand dans l’arrière-pays tibétain.
Repas inclus.
- Heures de marche : entre 2h et 3h
- Hébergement : en hôtel
- Transfert : Véhicule privatisé , 2h, 90 km
Shigatse - Shekar (4300m)
Départ vers l’ouest par la route Express de l’Amitié jusqu'à Sakya. Visite du monastère de Sakya puis continuation dans l’après-midi pour Shekar à 4300m.
Le monastère de Sakya, siège de l'école sakyapa du bouddhisme tibétain, a été fondé en 1073 par Khön Könchog Gyalpo (1034-1102), premier Sakya Trizin et membre de la noble et puissante famille Khön de la province de Tsang, bouddhistes de longue date (Nyingmapa).
Sakya tire son nom, "terre pâle", de l’aspect des collines de Ponpori près de Shigatse dans le Tibet central (Tsang) où le monastère de Sakya, berceau de la tradition a été construit. Ses abbés ont gouverné le Tibet pendant le 13e siècle, voire le milieu du 14e siècle, après la chute de la dynastie Yarlung des rois du Tibet jusqu'à ce qu'ils soient éclipsés par les Phagmodrupa puis par la montée de l'école des Gelugpa. Son architecture médiévale mongole est tout à fait différente de celle des temples de Lhassa et des Yarlung. Le seul bâtiment ancien encore en place est le Lhakang Chempo ou Sibgon Trulpa. À l'origine une caverne dans le versant de la montagne, il a été construit en 1268 par Ponchen Sakya Sangpo et restauré au 16ème. Il contient des chefs-d'œuvre de l'art tibétain parmi les plus magnifiques du Tibet. Le monastère couvre 18000m², le grand hall principal 6000m². La plupart des bâtiments du monastère sont en ruine car ils ont subi des destructions lors de la Révolution culturelle au Tibet.
Repas inclus.
- Hébergement : en hôtel
- Transfert : Véhicule privatisé , 6h, 280 km
Shekar - Rongbuk (5000m)
Départ tôt le matin pour Rongbuk en passant la passe Gyanu pour voir le lever du soleil sur la plus belle partie de l’Himalaya. L’après-midi, randonnée dans les alentours de Rongbuk d'où vous pourrez profiter d'une magnifique vue sur l’Everest.
Nuit au monastère de Rongbuk ou sous la tente de Za Rongbuk (5000m).
Repas inclus.
- Heures de marche : 4h
- Transfert : Véhicule privatisé , 3h, 90 km
Rongbuk - Shigatse
Lever du soleil sur le mont Everest puis petite randonnée pour profiter une dernière fois de la vue avant le départ pour Shigatse par la route Express de l’Amitié.
Repas inclus.
- Heures de marche : 4h
- Hébergement : en hôtel
- Transfert : Véhicule privatisé , 9h, 330 km
Shigatse - Lhassa
Retour à Lhassa en empruntant la route principale qui passe par la rivière Brahmapoutre avec des arrêts dans les villages. Arrivée à Lhassa en début d’après-midi et transfert à l’hôtel. Temps libre pour faire ses derniers achats dans la vieille ville.
Repas inclus.
- Hébergement : en guesthouse
- Transfert : Véhicule privatisé , 5h, 280 km
Lhassa - Chengdu
Temps libre à Lhassa puis vol pour Chengdu. Accueil et transfert à l'hôtel. Reste de la journée libre.
Déjeuner inclus, dîner libre.
- Hébergement : en hôtel
Chengdu - Leshan - Chengdu
Nous partons visiter le Centre de Recherche sur le panda géant. Situé au nord de la ville de Chengdu, à 15km du centre-ville et d'une superficie totale d’à peu près 67 ha, c'est un organisme à but non lucratif consacré à l'étude et la reproduction en captivité du panda géant. Le centre a été fondé en 1987. Il démarra avec six pandas. En 2008, 124 jeunes étaient nés au centre et la population en captivité s'élevait à 83 individus.
Nous partons ensuite à Leshan. Le Grand Bouddha de Leshan est une statue monumentale de Bouddha taillée dans la falaise du mont Lingyun, sur la rive est de la rivière Mindans la région du mont Emei, au Sichuan. Édifié approximativement entre 713 et 803, il doit son existence - selon la légende - à un moine bouddhiste qui souhaitait protéger les marins empruntant le périlleux confluent des trois rivières : Dadu He, Qingyi jiang et Minjiang et prévenir les inondations de la ville de Leshan. Ce site, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 1996, et premier lieu d’établissement en Chine du bouddhisme (dès le premier siècle de notre ère), est, par ses dimensions, le plus grand Bouddha du monde antérieur au 20e siècle, et la plus haute statue de Maitreya, avec ses 71 mètres de haut pour 28 mètres de large.
En fin de journée, retour vers Chengdu pour prendre notre vol international retour.
Repas libres.
- Hébergement : en hôtel
Chengdu - vol retour
Fin des services.
Important itinéraire
• Pour effectuer ce circuit, vous devez disposer de bonnes facultés d'adaptation à un voyage en altitude : être en bonne santé est indispensable.
• Ce programme et les visites prévues peuvent être modifiés sur place, en fonction des conditions locales et des permis pour visiter certains sites.
L’itinéraire peut être modifié (voire inversé) en raison d’imprévus techniques, climatiques ou d'éventuels changements des règlements locaux, de l'évolution de la situation politique locale concernant les visas et permis d'entrée, mais aussi des réquisitions gouvernementales éventuelles dont nous sommes généralement informés sans préavis.
• Les temps de marche sont donnés à titre indicatif. En fonction du niveau des participants, de la météo et/ou de l'état du terrain, ils peuvent varier, en plus comme en moins. Pour les étapes en altitude, le niveau d'acclimatation joue aussi un rôle dans la durée des marches.
• Le début et la fin du programme pourront être ajustés en fonction des horaires des vols internationaux.
• Une tenue correcte et respectueuse des coutumes locales est de rigueur lors des visites de temples et villages : pantalons et chemises à manches courtes ou tee-shirts amples. Pas de short, ni débardeur ou de vêtements trop moulants ou décolletés. Pour les femmes : les bermudas doivent être remplacés par des pantacourts.
Fiche technique
- Niveau du circuit
- Nombre de jours d'activités
- Nombre de participants
- Hébergement
- Nourriture
- Encadrement
- Transfert et transport des bagages
- Transports aériens
- Préparation physique
- Informations pratiques
1. Détail du voyage
Activités
Découverte
Environnement
Patrimoine et Nature,
Montagne
Itinérance
Itinérant
Niveau du circuit
Niveau physique :
Découverte des activités. Balade de quelques heures. Accessible à tous
> Bien choisir le niveau de votre voyage
Liste des hôtels (par ordre chronologique) que nous utilisons en priorité sur ce circuit.
La fiabilité des réservations n'est pas le point fort au Tibet, surtout depuis l'ouverture de la ligne de train entre Pékin et Lhassa qui amène l'été 300 à 500 Chinois par jour !
En cas de problème nous utiliserions des hôtels de même catégorie si cela est possible.
Lhassa (J2, 3 et 13)
Hôtel Dhoo Gu
Samye (J4 et 5)
Guest house du monastère de Samye
Tsethang (J6)
Hôtel Tsethang
Gyantse (J7)
Hôtel Gyantse
Shigatse (J8 et 11)
Hôtel Tashi Shoda ou hôtel Shigatse
Shekar (J9)
Hôtel Everest
Rongbuk (J10)
Monastère de Rongbuk ou au camp de tentes de Za Rongbuk
Chengdu (J14 et 15)
Hôtel Babao (3 étoiles)
Attention : le nombre d'étoiles au Tibet correspond aux "normes chinoises" et il est raisonnable de retirer une étoile par rapport aux normes françaises.
Tibétaine et chinoise (locale et parfois un peu grasse) dans les hôtels et/ou restaurants.
Quelques repas froids à midi lors des déplacements.
Guide local francophone. C’est votre guide depuis votre arrivée jusqu’à votre départ. Il a en charge la réussite de votre voyage donc n’hésitez pas à lui poser des questions et, surtout, à suivre ses conseils !
Il est important de noter que nous ne pouvons pas maîtriser totalement les services au Tibet, malgré la grande attention que nous apportons à l'élaboration de ce programme.
Le groupe n'est donc pas à l'abri de modifications éventuelles de l'itinéraire qui interviendraient sur place sans que nous en soyons informés.
Un esprit d'adaptation et "d'aventure" est donc nécessaire pour effectuer un voyage dans la Région autonome du Tibet ! (voir également rubrique "Important itinéraire").
Transfert et transport des bagages
En minibus privatisé.
Les routes, dont l’état s’est nettement amélioré, sont parfois endommagées pendant la mousson (de juin à octobre).
Vols réguliers avec transit pour Lhassa via Chengdu A/R
Important : les compagnies aériennes changent parfois leurs horaires de départ/arrivée : matin au lieu du soir et inversement. Il est donc possible que les 1er et dernier jours du programme soient modifiés en fonction des rotations aériennes du moment.
Une bonne condition physique est requise pour ce circuit.
VISITE MEDICALE
Etre en bonne santé est essentiel pour profiter pleinement de votre voyage Terres d'Aventure ! Si votre dernière visite médicale date quelque peu, c’est l’occasion d’effectuer un bilan de santé en expliquant à votre médecin les principales caractéristiques de votre voyage (climat, altitude, difficulté…) ; une visite chez votre dentiste est aussi une excellente initiative. Ces conseils vous concernent tout particulièrement puisque vous allez entreprendre un voyage lointain et en altitude.
Nous vous conseillons de consulter le site de la Fédération Française de la Montagne et de l'Escalade (www.ffme.fr) rubrique VOTRE SANTE puis "Les effets de l'altitude".
Important : à partir de 45 ans, il est prudent d’effectuer un électrocardiogramme d’effort.
Le MAM (Mal Aigu des Montagnes) :
Ce voyage se déroule à une altitude élevée. Certaines personnes peuvent souffrir de malaises (maux de tête, gonflement, perte d'appétit). La plupart de ces symptômes disparaissent généralement en quelques jours mais il arrive qu'ils empirent et peuvent évoluer en maladies graves ; œdèmes pulmonaires ou cérébraux. Il n'existe pas de médicaments préventifs au MAM.
Le diurétique Diamox se révèle souvent efficace, mais vous devez vous assurer auprès de votre médecin que ce médicament ne vous est pas contre-indiqué. L'altitude a aussi pour conséquence de raviver les problèmes dentaires ou autres douleurs chroniques. Pensez-y avant de partir.
Pendant le voyage forcez-vous à boire beaucoup et à éliminer.
Prévenez le guide de votre état de santé, même en cas de troubles légers.
Infos sur les problèmes liés à l'altitude : www.ffme.fr
Us et coutumes :
* A l’étranger, l’étranger c’est vous ! Donc, en cas de choc des cultures, c’est plutôt à vous de vous faire discret…
* Le salut officiel tibétain est la langue tirée, marque de soumission exigée au XVIIe siècle des Tibétains prisonniers des Mongols, depuis que l'un d'eux fut accusé du meurtre d'un geôlier par des incantations (rendant la langue noire, selon la coutume).
* L’enterrement a été pratiqué dans les temps anciens sur le plateau du Tibet. Actuellement, les Tibétains exposent leurs morts aux rapaces, les incinèrent ou les ensevelissent par immersion.
* L’orge grillé mélangé à de la farine de pois et apprêté en bouillie (la "tsampa"), constitue la nourriture de base des Tibétains. Ils aiment le thé salé au beurre et au lait, et le vin d’orge. Ils consomment surtout de la viande de bœuf et de mouton.
* Si l’on vous sert du thé, attendez que l’on vous invite à boire. Prenez alors une gorgée et l’on remplira votre tasse de façon qu’elle soit toujours pleine, et ainsi de suite. Avant de partir, videz votre tasse et signifiez que vous avez fini en la posant sur le côté ou sur le sol.
* Aux yeux des Tibétains, les jambes et les fesses des femmes doivent être couvertes par des vêtements amples et jamais moulants.
* Vous devez avoir une tenue correcte pour visiter temples, monastères et villages : pas de shorts, de bermudas, de jupes courtes ou de tenues moulantes.
* Il est d'usage de laisser une petite offrande devant l'autel dans les monastères. Elle contribue au maintien du culte et à la survie des moines.
* Evitez de tenir des propos anti-chinois et d'offrir des photos du Dalaï-lama car vous mettriez les locaux dans une situation pouvant être particulièrement difficile…
* Les couples ne doivent pas s’enlacer ou s’embrasser en public.
* Saluez uniquement en joignant les mains au niveau du front et, sauf si vous y êtes expressément invités, évitez de serrer la main. Ne faites jamais la bise.
* Contournez toutes les constructions bouddhiques en passant par la gauche.
* On ne touche pas à la tête des enfants.
* Evitez de donner des bonbons aux enfants.
* Au Tibet, comme dans la plupart des pays d’Asie, le temps est une notion subjective qui s’écoule au rythme des pensées. Il est donc à géométrie variable !
Mini glossaire de tibétain :
Bonjour : Tashi delek !
Au revoir : Kalé shou
Merci : Tu djé tché
D'accord : La sô
Excusez-moi : Gon'da
Combien ? : Ka tsé ?
Je suis français : Nga parangsé yin
Comment ça va ? : Kou zoug dépo yinpé
Je m'appelle… : Nga… ming la sé gui yin
Restaurant : Sakhang
L'eau chaude : Tchou tsapo
L'eau : Tchou
Bière : Pitchiou
Thé : Tcha
Carte postale : Postcard
Pour en savoir d'avantage, vous pouvez vous procurer : "Le tibétain sur le bout de la langue", de Sylvie Grand-Clément, un petit ouvrage édité à compte d'auteur, disponible avec une cassette dans les librairies spécialisées.
Attention : les guides de voyages "Guide du Routard" et "Lonely Planet" ne sont pas autorisés à l'entrée du Tibet et sont confisqués par la douane.
2. Equipement
Les contrôles de sécurité sont stricts aux aéroports : mettez les couteaux, ciseaux et piles de rechange dans votre sac de soute.
Produits liquides :
Vous devez désormais lors des contrôles de sûreté présenter séparément dans un sac en plastique transparent fermé d’un format d’environ 20 cm sur 20 cm, vos flacons et tubes de 100 ml maximum chacun.
Quels sont les produits interdits ?
Les liquides, les aérosols, gels et substances pâteuses : eau minérale, parfums, boissons, lotions, crèmes, gels douche, shampoings, mascara, soupes, sirops, dentifrice, savons liquides, déodorants…
Quelle est la taille maximale de chaque flacon ou tube que l’on peut emporter en cabine ?
Aucun flacon ne peut dépasser 100 ml.
Quelle taille maximum doit faire le sac plastique ?
Ce sac en plastique transparent (type sachet à congélation) doit mesurer 20 cm sur 20 cm environ. Un sachet peut contenir plusieurs objets, tubes, flacons, aérosols.
Comment se procurer ce sac plastique ?
Vous pouvez vous procurer ce sac plastique (type sac de congélation) dans les commerces et les grandes surfaces. La plupart des aéroports européens proposeront aussi sur place des sacs. Toutefois, il s’agit d’un service rendu aux passagers et non d’une obligation, il n’est donc pas garanti que ces sacs soient disponibles partout et tout le temps. Nous vous conseillons de prendre vos dispositions avant le départ.
Quelles sont les exceptions autorisées ?
• Les médicaments liquides
Vous pouvez emporter en cabine des médicaments liquides (insuline, sirops…) à condition de présenter aux agents de sûreté une attestation, ou une ordonnance à votre nom. Il n’y a aucune restriction pour les médicaments solides (comprimés et gélules).
• Les aliments liquides pour bébés
Il n’y a pas de restriction sur ces produits. Pensez à prendre des contenants qui se referment : il pourra en effet vous être demandé de goûter ces aliments.
Nos recommandations :
Enregistrez en bagage de soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
Équipez-vous pour l'avion de votre tenue de trek et prenez vos affaires de première nécessité (en cas de problème d'acheminement de vos bagages).
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage souple.
1 • Le sac à dos :
Sac à dos de montagne d’une capacité de 30 litres environ il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée. Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires, fragiles (appareil photo…) et médicaments (si vous suivez des traitements indispensables).
2 • Le grand sac de voyage souple et résistant :
Il doit contenir le reste de vos affaires. Il sera en soute lors des transports aériens. Vous le trouverez chaque soir. Il sera transporté par des porteurs et/ou des animaux et/ou des véhicules : les valises sont donc à éviter impérativement.
Vous recevrez avant votre départ des étiquettes Terres d'Aventure, qui vous permettront d’identifier vos bagages avec vos nom et adresse, et faciliteront le regroupement des sacs aux arrivées à l’aéroport.
Comment se fait le passage du contrôle de sûreté ?
- Retirez votre veste ou votre manteau.
- Présentez à part :
- Tous vos grands appareils électriques : ordinateur portable, gros appareil photo numérique, lecteur DVD…
- Votre sac plastique transparent contenant vos flacons et tubes.
- Vos médicaments accompagnés d’une ordonnance ou d’une attestation.
- Vos aliments liquides pour bébé.
- Vos achats réalisés dans les boutiques des aéroports doivent être mis sous sac plastique scellé mais toutes les boutiques ne proposent pas ce sac : renseignez-vous avant de faire vos achats.
Les achats de liquides réalisés après le contrôle de sûreté s’effectuent librement sous réserve des limitations douanières ; attention cependant aux correspondances.
La réglementation aérienne limite le poids des bagages à 20 kg par personne.
- Chapeau
- Foulard
- Bonnet
- Gants légers
- Veste d'altitude, coupe-vent Gore-tex ou similaire
- Veste en "fibre polaire" type Polartec 200 ou Windstopper ou Windpro
- Cape de pluie
- Chemises manches longues ou sweat-shirts
- Tee-shirts
- Pantalons confortables, toile ou velours
- Pantalon de randonnée
- Chaussettes
- Sous-vêtements type Thermolactyl
- Tennis ou chaussures de jogging
- Chaussures de marche souples, ayant une bonne tenue de pied et une semelle résistante
Une tenue correcte et respectueuse des coutumes locales est de rigueur lors des visites de temples et villages : pantalons et chemises à manches courtes ou tee-shirts amples. Pas de short, ni débardeur ou de vêtements trop moulants ou décolletés. Pour les femmes : les bermudas doivent être remplacés par des pantacourts.
- Lampe frontale + ampoules et piles de rechange
- Briquet pour éventuellement brûler les détritus
- Lunettes de soleil à verres filtrants
- Couteau de poche
- Gourde (1 litre minimum)
- Nécessaire de toilette léger (utilisez des produits biodégradables)
- Papier toilette
- Nécessaire de couture
- Boules Quies, ou similaires : la nuit des meutes de chiens se donnent souvent en concert !
Les hôtels sont équipés de couvertures ou couettes, mais dans certaines guest houses l’hygiène laisse parfois à désirer. Vous pouvez donc, pour l'hygiène, prendre un sac de couchage si vous le souhaitez, ou tout simplement un drap de sac, ce qui est fortement conseillé.
- Vos médicaments habituels
- Vitamine C
- Traitement antibiotique à large spectre : prévoir 8 jours de traitement (sur prescription médicale)
- Anti-diarrhéique (type Lopéramide ou Tiorfan)
- Pansement intestinal (type Smecta)
- Pommade anti-inflammatoire
- Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
- Collyre (poussière, ophtalmie)
- Bande adhésive (type Elastoplast en 6 cm de largeur) efficace en prévention des ampoules…
- Jeu de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
- Pansements hydrocolloïdes anti-ampoules (disponible en magasins de sport, pharmacie, grandes surfaces...)
- Traitement pour rhume et maux de gorge
- Protection solaire hydratante (peau + lèvres)
- Biafine : pour les coups de soleil et les brûlures
- Diamox en comprimé pour la prévention ou le traitement du mal aigu des montagnes (sur prescription médicale uniquement).
Le bon plan : médicament homéopathique : coca/ces granules sont extrêmement efficaces pour éviter le mal de l’altitude de base. Prises au minimum durant 3 jours dès votre arrivée à Lhassa, elles sauront atténuer rapidement les maux de tête, vertiges etc… et vous aideront à vous acclimater plus rapidement.
3. Formalités et santé
Attention : une négligence de votre part peut parfois compromettre votre voyage.
Votre passeport doit disposer de 6 mois de validité au-delà de la date de retour de votre voyage.
Chine (République populaire de Chine)
Le visa chinois est obligatoire pour les ressortissants français, belges et suisses. Vous devez effectuer les démarches pour son obtention sur le site du Centre de Visa Chinois (https://www.visaforchina.org/), puis déposer votre dossier dans un des Centres de Visa Chinois (France: Paris, Marseille, Strasbourg, Lyon). La rubrique "Visa" détaille les documents à fournir lors de cette demande.
La Région autonome du Tibet (RAT)
L’entrée dans cette région requiert un permis spécial, spécifique à la RAT, dont le prix est inclus dans le montant du voyage. Ce permis vous sera délivré par notre agent local à votre arrivée à l'aéroport de Chengdu, à la sortie du Terminal 1.
Vous devez donc nous envoyer, et ce, dès votre inscription et au plus tard 30 jours avant le départ, les informations suivantes :
- la photocopie couleur (obligatoire, demandée par les autorités chinoises) de la page identité de votre passeport
- la photocopie couleur de la page de votre passeport comportant le visa chinois
Nous attirons votre attention sur l’importance de ces documents pour l’obtention du permis pour la Région autonome du Tibet, et nous vous prions de respecter les délais afin de ne pas compromettre votre séjour. Un visa chinois obtenu en Europe ne vous sera d'aucune utilité dans ce cas-là.
Attention : vous voyagerez au Tibet avec un permis de groupe, qui n’autorisera pas la séparation des participants : si un ou plusieurs membres du groupe ne peuvent effectuer une excursion, voire une étape, il est probable que tout le groupe soit pénalisé sans qu’aucune réclamation ne puisse être envisagée.
Passeport en cours de validité, valable 6 mois après la date de retour, pour les ressortissants français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Les conditions d’accès à la Région autonome du Tibet (RAT) changent régulièrement sans préavis ; on sera attentif à disposer toujours des informations les plus récentes. Jusqu’à nouvel ordre, les permis d’entrée ne seront délivrés qu’à des groupes d’au moins 2 personnes de même nationalité.
Arrivée par la Chine.
Visa obligatoire pour les ressortissants français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Pour obtenir un visa de tourisme chinois : passeport (comportant deux pages vierges consécutives) + formulaire de demande complété + photo d’identité. A cela, on ajoutera impérativement une copie du billet d’avion AR et une attestation de réservation d’hôtel. Lors de cette demande, ne pas mentionner le Tibet comme destination.
Depuis le 14 avril 2008, le visa chinois est valide 3 mois, pour un séjour n´excédant pas 60 jours sur place et pour une entrée.
Après avoir obtenu un visa de tourisme (attention, donc, aux délais), il faut demander un permis d’entrée au Tibet, délivré par le Tibet Tourism Bureau (TTB) par l’intermédiaire d’une agence habilitée - délai, 1 mois minimum. Ce permis n’est délivré qu’avec l’achat d’au moins une prestation.
Arrivée par le Népal.
L’ambassade de Chine à Katmandou délivre (ou ne délivre pas, pour des raisons parfois opaques) des visas spéciaux « Région autonome du Tibet ». Principe : le dossier de demande doit être préparé à l’avance par une agence népalaise ; le voyageur finalise ce dossier à son arrivée et obtient, dans le meilleur des cas, son visa. Le dossier devra comporter un formulaire de demande de visa chinois complété, une photocopie couleur des premières pages du passeport (ainsi que de celle portant l’adresse du titulaire) et deux photos d’identité (couleur). Règlement sur place, lorsqu’il n’a pas été effectué par l’intermédiaire d’une agence en Europe. Pas de visa sans achat de prestation. Attention ! les titulaires d’un passeport français doivent désormais le déposer à l'ambassade et attendre 5 jours ouvrés la délivrance éventuelle de leur visa.
Attention ! à l’arrivée à Lhassa (et même au départ de…), les douaniers saisissent toute littérature considérée comme subversive : ouvrages sur le Dalaï Lama ou comportant des photos de lui, présentations « alternatives » de la situation sur place…
Attention ! Dans le cadre des mesures spécifiques liées à la pandémie de Covid, nous vous recommandons de vérifier votre statut vaccinal eu égard aux exigences de votre pays de destination et des attentes des autorités françaises à votre retour. Et de vérifier en outre si un ou plusieurs tests PCR sont demandés (avant le départ, à l'arrivée, pendant le voyage ou au retour). Enfin, de remplir les formulaires spécifiques Covid qui peuvent être réclamés pour entrer dans certains pays. Nos conseillers sont à votre disposition pour vous préciser les formalités à respecter.
Pas de vaccin obligatoire, sauf fièvre jaune pour les voyageurs en provenance de zones infectées.
Il faudra, comme pour tous les voyages (et peut-être ici plus qu’ailleurs), vérifier qu'ont été faits, en l'absence d'immunité connue, les vaccinations (ou leurs rappels) contre diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite, hépatites A et B, rougeole pour les enfants). Il est en outre souhaitable, car il s'agit souvent de voyages « difficiles », d'être immunisé contre typhoïde, rage, encéphalite japonaise, la vaccination (à faire faire dans un centre de vaccinations internationales) concerne surtout les expatriés en zone rurale, mais elle doit aussi être conseillée aux voyageurs ayant une activité de plein air importante pendant les périodes de circulation du virus (nuits sous la tente, treks dans les rizières, pendant la mousson en particulier).
En suivant le mieux possible les conseils que nous vous avons donnés dans nos recommandations générales sur les problèmes liés aux aliments, au comportement et à l'environnement, vous diminuerez la probabilité d'y être confronté. Les risques alimentaires sont fréquents pendant les treks, au cours desquels boire abondamment est une nécessité absolue. Si vous n'êtes pas sûr de l'eau qui vous est proposée, vous pourrez boire du thé. Respectez les règles habituelles de l´hygiène alimentaire : lavage des mains, aliments cuits et chauds. L'hygiène corporelle, des pieds en particulier, est, bien sûr, capitale. Mais, le problème principal auquel sera confronté le voyageur est : l'altitude. Il nous parait indispensable d´insister sur les risques liés à la haute montagne. Il faut savoir qu'un séjour en haute montagne peut être une véritable épreuve et que, en prévision d’efforts au-delà de 3 500 m, il est important de tester les capacités physiques du voyageur. Plus que les examens classiques (électrocardiogramme, radiographie pulmonaire), qui ne révéleront que des contre-indications relatives, il faut faire évaluer, dans un centre spécialisé, la résistance de l'organisme à la baisse de la pression d'oxygène rencontrée en haute montagne (test à l'hypoxie). Cela concerne les trekkeurs plus que les voyageurs « motorisés », même si les passages de col à des altitudes inhabituelles peuvent être source d'inconfort. La sensibilité au mal des montagnes est individuelle, elle n'est pas fonction du degré d'entraînement ou de condition physique et elle peut être répétitive à même altitude pour un même sujet.
4. Pays et climat
Climat et Informations régionales
Climat de montagne semi-aride, avec de nettes variations régionales : nord-ouest désertique ; façade sud arrosée par la mousson en juillet et en août ; la zone centrale connait des conditions plus clémentes. Il neige peu. Les températures connaissent de brusques et importants écarts (à la tombée de la nuit en particulier). Dans l’ensemble, elles ne sont pourtant pas aussi basses qu’on l’imaginerait : l’hiver est plus froid à Pékin qu’à Lhassa. Le printemps et l’automne sont ensoleillés et secs (température agréables pendant la journée). Pluies, donc, au sud pendant l’été. L’hiver est froid et sec. Une constante : le vent.
(b]CLIMAT AU TIBET :
• Mai, juin et septembre : ce sont les meilleurs mois, beaux et secs. Température douce dans la journée, mais très froide la nuit. Belle lumière, sommets dégagés
• D'octobre à avril : il fait froid le jour et très froid la nuit mais il n'y a pas de touristes. Très belle saison pour s'y rendre notamment pendant les fêtes du nouvel an, spécialement en Amdo.
• Juillet et août : haute saison touristique et risques de pluie, surtout à proximité des sommets himalayens.
RELIGIONS :
La Chine est "officiellement" athée…
Le Bouddhisme fit son apparition au Tibet au début du VIIe siècle à l’époque de la fondation du royaume par Songtsan Gambo. Il fut introduit par Padmasambhava, un grand maître tantrique venu de l’Inde (plus précisément de la région de Swat, intégrée maintenant au Pakistan) et qui chercha à assimiler les anciennes croyances "Bön" (religion primitive s'apparentant à l'animisme où les fidèles adoraient les dieux et les esprits de la terre, du ciel et de la nature en général) en rejetant la magie noire, mais en gardant ce qu’elles avaient de bénéfique, et en appliquant la quête de l’éveil comme moteur de spiritualité. Après une période de lutte farouche pour la prééminence, les deux religions finirent par se rapprocher, assimilant chacune une partie de la doctrine et des pratiques de l'autre, jusqu'à cohabiter de manière pacifique.
Le Bouddhisme tibétain est lié au Mahayana ("grand véhicule") et se différencie du Hinayana ("petit véhicule") en prêchant l'altruisme. Il se caractérise par l'existence simultanée des doctrines ésotériques et exotériques. Le Hinayana pour sa part, représente le Bouddhisme primitif et la recherche de l’éveil pour soi.
Egalement appelé "lamaïsme" du nom des religieux dirigeant autrefois le pays, le Bouddhisme tibétain compte plusieurs "écoles" ou "sectes", dont les cinq principales sont : Ningma, Sakya, Kargyu, Kadam et Gelug.
Ces cinq tendances se distinguent par des particularités vestimentaires ou ornementales, ainsi que par certaines pratiques particulières.
Le fondement de la doctrine reste cependant la recherche de l’éveil, la pratique de l’amour et la compassion envers tous les êtres vivants, mais aussi l’acceptation de la réincarnation jusqu’à la libération de tous les êtres.
Ces différentes écoles ont elles-mêmes engendrées des courants différents, créant des "sous branches" proposant quelques dissidences et mêlant souvent les doctrines des unes et des autres.
• Les "Ningma", non réformés, sont surnommés "Ecole rouge", et plus communément appelés "bonnets rouges", en raison de la couleur du bonnet. Ce sont les plus anciens, ils puisent directement leurs enseignements de Padmasambhava (Guru Rimpoche), et leurs officiants, ou Lamas, ne sont pas obligatoirement moines, ils peuvent être mariés et laïques ou yogis errants. Leur communauté n’est plus très importante, mais ils sont néanmoins représentés dans la plupart des pays himalayens, au Ladakh (Taktak), au Bhoutan (Dramitse et Gangtey) et au Tibet (Mindroling et Rongbuk).
• Les "Sakyas", semi réformés, portant aussi des bonnets rouges, ont à leur tête des "précieux" qui sont mariés et dont le lignage se fait par filiation. Ils sont appelés secte "bigarrée", en référence aux rayures blanches, noires et rouges ornant les monastères, symbolisme des trois voix de l’éveil : le corps, la parole et l’esprit. Ils sont liés politiquement aux mongols, et furent très puissants au XIe siècle. Ils sont représentés principalement au Mustang, mais aussi à Matho (Ladakh), et Sakya et Shalu au Tibet.
• Les "Kagyus", également semi réformés, sont principalement connus pour leurs enseignements sur la "mahamoudra" ou "pratique de méditation" dont l’un des plus célèbres exemples est le fameux yogi Milarepa. Les adeptes pratiquent des retraites dont la plus longue est celle de 3 ans, 3 mois, 3 jours, à la sortie de laquelle le pratiquant devient "Lama", mais peut ensuite, sans obligation de devenir moine, choisir de retourner à sa vie laïque. Ces communautés sont devenues importantes depuis qu’elles sont représentées en occident.
Il existe chez les "Kagyus" quatre "écoles" principales et huit petites "sous branches". Ils ont le mérite d’avoir crée le mouvement "Rimé" qui se veut de réunir toutes les traditions.
Les "Kagyus - Karmapa" sont principalement représenté au Sikkim (Rumtek) mais aussi en occident. Le Karmapa, est leur maître spirituel. L’actuelle réincarnation du Karmapa (celle reconnue par le Dalaï Lama) enseigne la "mahamoudra" avec un talent tout particulier.
Les "Kagyus - Drukpa" sont représentés au Ladakh (Hemis, Shey, Chimrey, Stakna, Bazgo, Dzunkhul, Sani, Stagrimo).
Une autre école de semi réformés, les "Kargyu - Drigungpa" est représentée à Phyang et Lamayuru au Ladakh.
Les "Drukpas" dissidents des Ningmas, appartiennent aussi aux "bonnets rouges". Ils sont principalement représentés au Bhoutan, mais aussi au Lahul et au Zanskar dont les monastères dépendent de Stakna au Ladakh (branche des Kargyupa-Drukpa). On les trouve aussi au Dolpo, ou subsiste également l’ancienne religion primitive Bön (secte noire).
• Les "Kadampas", peu nombreux, sont les disciples d’un grand maître venu de l’Inde, Atisha. Il donna de nombreux enseignements au Tibet et mourut près de Lhassa.
• L’Ecole "Gelugpa" ou "bonnets jaunes", les "vertueux" ou "réformés" dont les religieux arborent le célèbre bonnet safran, en forme de bonnet phrygien, fût fondée par Tsongkapa dans la seconde moitié du XVIe siècle. Ce dernier voulut réformer et purifier la règle monastique, et insister sur l’étude et la dialectique. Ils devaient rapidement conquérir tout le Tibet. Leur chef spirituel est le Panchen Lama, incarnation du Bouddha Amithaba. Le Dalaï Lama qui signifie "océan de sagesse" est, lui, l’incarnation de "Cherenzi", le Bouddha de la compassion. Il est reconnu par toutes les Ecoles comme le plus important Bouddha vivant. A son décès, sa réincarnation est recherchée selon une tradition particulière alliant la divination et les signes auspicieux. L’actuel Dalaï Lama, Tenzing Gyatso, âgé aujourd’hui de 70 ans, est le 14e de la lignée. Les "Gelug" dominent au Tibet (Sera, Drepung, Ganden, Samye, et Tashilumpo à Shigatse), mais ils sont également représentés en Inde : Ghoom à Darjeeling, Tabo et Kye au Spiti.
Ne pas oublier qu’une importante communauté musulmane réside dans la vieille ville de Lhassa depuis l’époque des grandes caravanes qui sillonnaient l’Asie.
5. Tourisme responsable
L'équilibre écologique de la région que vous allez traverser est très précaire. La permanence des flux touristiques locaux ces dernières années le perturbe d'autant plus rapidement. Même si les touristes locaux se sentent - hélas - peu concernés, dans l'intérêt de tous, chaque participant est responsable de la propreté et de l'état des lieux qu'il traverse et où il campe. La lutte contre la pollution doit être l'affaire de chacun. Même si vous constatez que certains sites sont déjà pollués, et que les locaux n'y attachent que peu d'importance pour le moment, vous devez ramasser vos papiers, mouchoirs en papier, boîtes, etc... Votre accompagnateur vous y aidera.
Des voyages 100% carbone absorbé
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Engagé dans un tourisme responsable
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
6. Bibliographie
Guides et cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris
Guides :
• "Le guide du Tibet", Christian Deweirdt, Ed. Peuples du monde
• "Tibet", Stephen Batchelor, Ed. Guide Olizane
• "Le guide du pèlerin", V. Chan, Ed. Olizane-Voyageur
• "Tibet secret", Fosco Maraini, Ed. Arthaud
• "Tibet", M. Buckley, Ed. Arthaud Guides
• "Népal / Tibet" Le guide du routard, Ed. Hachette (attention : voir rubrique "informations pratiques)
Albums Photographiques :
• "Offrandes, 365 pensées de maîtres bouddhistes", D. et O. Föllmi, Ed. de la Martinière
• "Lhassa, le Tibet disparu", H. Harrer, Ed. La Martinière
• "Art et archéologie du Tibet", A. Chayet, Ed. Picard
• "Moines danseurs du Tibet", M. Ricard, Ed. Albin Michel
• "Hommes, divinités et montagnes des Himalayas", B. Olschak, Ed. Glénat
• "Kailash, pèlerinage tibétain", A. van Limburg, Ed. La Boussole
• "Hommage au Tibet", O. Föllmi, Ed. La Martinière
Récits, Essais :
• "Mon pays, mon peuple", le Dalai Lama, Ed. Olizane
• "Moi, Bouddha", José Frèches, Ed. XO éditions
• "Le bouddhisme pour les Nuls", J. Landaw et S. Bodian, Ed. First Editions
• "Portraits du Tibet: le pouvoir de la compassion" le Dalaï Lama en collaboration avec Elie Wiesel et Phil Borges, Ed. Glénat
• "Terre des dieux, malheur des hommes: sauver le Tibet", le Dalaï Lama en collaboration avec G. Van Grasdorff, Ed. Lattes
• "Voyage d'une parisienne à Lhassa", "Mystiques et magiciens du Tibet", "Au pays des brigands gentilshommes", "Grand Tibet et vaste Chine", "Journal de voyage", A. David-Neel, Ed. Plon et Ed. du Rocher.
• "Tibet secret", Fosco Maraini, Ed. Arthaud
• "Tibet mort ou vif", P. A. Donnet, Ed. Gallimard
• "Sept ans d'aventure au Tibet", H. Harrer, Ed. Arthaud
• "Le Tibet, une civilisation blessée", F. Pommaret, Ed. Gallimard
Filmographie :
• "Sept ans au Tibet" de Jean-Jacques Annaud
• "Kundun" de Martin Scorsese
Privatisation du voyage
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
Nous pouvons privatiser ce voyage pour un groupe à partir de 4 personnes. Faites-nous une demande de devis. Un conseiller Terres d’Aventure vous contactera ensuite pour discuter ensemble de votre projet et vous établira un devis personnalisé.